jeudi 10 février 2011

Conclusion

En somme le débat sur l'euthanasie en France est récurrent. Un cas privé devient un débat public par l'intermédiaire des médias qui animent celui-ci. Le débat  va donc suscité de vives réactions de la part des anonymes ce qui entraîne une confrontation politique sur ce sujet compliqué et  tabou. En effet les politiciens ont chacun un avis personnel et confus sur la question ce qui engendre un retard de prise de décisions relatives à l'euthanasie par rapport à d'autres pays Européens. Cependant face à la complexité de la question et à l'absence de nouveaux cas relatant le débat, celui-ci s'estompe.

Selon nous, ce débat tient une place importante dans la société et mériterait d'être permanent pour arriver à une loi qui convienne à la majorité. Étant donné que c'est la population qui est directement concernée et qu'il est  difficile de s'accorder sur la question du droit de mourir, le gouvernement actuel devrait proposer aux français une loi similaire à celle établie en Belgique et de la faire voter par référendum. Cependant nous sommes conscientes des difficultés à établir une loi légalisant l'euthanasie sans qu'il y ait d'abus.
Nous pensons que Vincent Humbert à eu raison de faire connaître son histoire, car cela à permis de faire connaître de façon plus large le débat. Il  a non seulement participer à la réouverture du débat sur la légalisation de l'euthanasie mais aussi redonner de l'espoir à de nombreuses personnes, qui comme lui, souhaitent mourir dans la dignité. On peut donc conclure que la médiatisation de l'affaire Vincent Humbert à permis à d'autres personnes de demander, tout comme lui, l'euthanasie. Cependant, nous déplorons, le faite que malgré la multiplication d'autres cas médiatisés comme celui de Chantal Sébire, le débat n'ait pas persisté dans le temps, et que de nos jours celui-ci est quasi inexistant.  En effet, ces autres cas médiatisés ont eu un retentissement moins conséquent que l'affaire Vincent Humbert du faite que ceux-ci ne soit pas précurseurs. Nous pensons aussi qu'il est regrettable d'attendre un nouveau cas médiatisé d'euthanasie pour reparler de cette controverse. 
L'euthanasie a inspiré de nombreuses oeuvres telle que les romans :  La Mandarine blanche (2005) de Rémi Bertant,  Les Assassins sont si gentils (2006) de Elisabeth Bourgois mais aussi les films Mar adentro (2004) d'Alejandro Amenanbar, et  You Don't Know Jack (2010) de Barry Levinson.

Ecrit par Eva et Victoria.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire